Les portraits de SoMuM – Jamela Ouahhou, doctorante en Histoire médiévale
Je m’appelle Jamela Ouahhou et réalise une thèse d’histoire à l’Institut de Recherches et d’Études sur les Mondes arabes et musulmans (IREMAM/CNRS) d’Aix-Marseille Université.
Après une licence en Langues et Communication, j’ai fait, à travers la Sociologie et les Sciences politiques, au Département d’Études moyen-orientales (DEMO), un premier master portant sur le renouvellement générationnel dans des dynamiques associatives confessionnelles, un sujet très contemporain et national.
L’année suivante, j’ai désiré prendre du recul sur le temps et l’espace étudiés, et ai décidé de suivre un master d’Histoire médiévale dans le cadre de mon projet de doctorat qui commençait à voir le jour.
Ainsi, depuis octobre 2020, je suis doctorante en Histoire médiévale à l’IREMAM, et j’étudie les esclaves et affranchis à travers les sources juridiques du Proche orient du XIV et XVe siècle.
Le printemps dernier, je me suis également engagée en missions complémentaires à l’Institut Sociétés en Mutation en Méditerranée (SoMuM), où je travaille dans le cadre du dispositif Lab’Citoyenneté – Villa Air-Bel, mis en place à Air Bel, dans le 11e arrondissement de Marseille. Ce dispositif m’offre l’opportunité de réaliser des missions de diffusion de culture scientifique avec des publics non universitaires, enfants et adultes, du quartier. En d’autres termes, je travaille à la mise en place d’ateliers pérennes dont le contenu, les participants et le lieu pourraient être à chaque fois différents. L’objectif est d’apporter et co-produire le savoir, mais aussi d’alimenter avec justesse des réflexions déjà circulantes sur des notions pouvant faire débat de société.
Consulter également son portrait réalisé par la Cellule Culture scientifique.
OpenEdition vous propose de citer ce billet de la manière suivante :
Jamela Ouahhou (15 février 2022). Les portraits de SoMuM – Jamela Ouahhou, doctorante en Histoire médiévale. Sociétés en Mutation en Méditerranée. Consulté le 5 novembre 2024 à l’adresse https://doi.org/10.58079/ugid